ATELIER PHILO-ADULTES
En date du jeudi 09 mars 2023
"Peut-on se mettre à la place des autres ?"
Quelques textes pour clôturer la séance
Les trois piliers de l’empathie
Alexandre Lacroix publié le 27 novembre 2019
Nous nous trouvons trop refermés sur nous-mêmes, et nous pensons qu’il faudrait que ça change pour que tout aille mieux dans nos sociétés. Et si c’était le contraire ?
Lorsqu’on aborde la question du rapport aux autres, deux idées reçues surgissent assez vite. Premièrement, ce rapport est considéré comme fragile et mal assuré. Nous serions spontanément des égoïstes. L’Écossais David Hume le résume d’une formule frappante dans son Traité de la nature humaine (1740) : « Il n’est pas contraire à la raison de préférer la destruction du monde entier à l’égratignure de mon doigt. » Nous nous vivons, de plus, comme des citadelles inviolables. Nous pouvons être contraints par les autres à certaines actions que nous n’avons pas envie de faire ni de subir, mais nul ne peut nous dérober nos pensées. Les murailles de notre for intérieur seraient élevées et résistantes. Nous ne partageons nos réflexions, nos souvenirs, nos désirs qu’avec ceux à qui nous acceptons d’en parler. Dans un passage halluciné de ses Méditations métaphysiques(1641), René Descartes se décrit regardant passer les gens dans la rue, accoudé à sa fenêtre : qu’est-ce qui me prouve, se demande-t-il, que ce sont de vrais humains comme moi, avec une conscience, et non des automates dissimulés sous des chapeaux et des manteaux ? Je sais que je suis un moi, que je pense. Mais chez autrui, je ne fais que supposer un équivalent de mon intériorité sans y avoir accès. Si j’ignore de quoi autrui est fait au-dedans, comment me mettrais-je à sa place ?
Deuxièmement, un préjugé veut que, si nous acceptions de percer des fenêtres dans la muraille de notre intériorité, la vie sociale serait largement apaisée. Autrement dit, si nous faisions plus souvent l’effort de nous mettre à la place d’autrui, de saisir ses motivations et ses souffrances, nous aurions une conduite plus respectueuse, plus bienveillante, et nous serions dirigés naturellement vers le bien.
Eh bien, il est possible de soutenir que ces deux idées reçues sont fausses !
Mon caméléon intérieur
Ce débat tourne autour de la notion d’empathie dont il convient de retracer rapidement l’historique avant de poursuivre. Au XVIIIe siècle, les philosophes des Lumières écossaises, Francis Hutcheson, David Hume et Adam Smith, emploient le terme de « sympathie » (du préfixe grec syn, « avec », et de pathos,« souffrance ») pour désigner la capacité à se mettre à la place des autres lorsqu’ils vont mal. Mais, en 1873, l’Allemand Robert Vischer, spécialiste d’esthétique, cherche à décrire notre relation aux œuvres d’art et choisit d’employer un autre mot, Einfühlung(du préfixe ein, « du dedans », et de Gefühl,« sentiment ») pour nommer notre propension à ressentir à l’intérieur de nous-mêmes ce que nous voyons à l’extérieur. Par une sorte de mimétisme, mon intériorité est un caméléon qui change de tonalité suivant les contextes et les personnes que je perçois. Le débat sur l’Einfülhung va s’élargir et passionner psychologues et philosophes allemands de la fin du XIXe siècle.
En 1909, un cap est franchi : le psychologue américain Edward B. Titchener traduit Einfühlung par empathy. Il ne sera jamais plus question de sympathie en philosophie morale – être sympa, c’est se montrer cool, amical, le terme retombe dans le langage courant. Et c’est l’empathie qui intéresse les philosophes mais aussi les neuroscientifiques et les spécialistes du comportement animal. Tous les travaux scientifiques sur le sujet convergent : les êtres humains se révèlent beaucoup moins opaques et indifférents les uns aux autres qu’on ne le croit.
Plus encore, il existe trois types d’empathie qui se complètent et nous permettent de nous mettre à la place d’autrui.
Pour le meilleur et…
« Comprendre les intentions et les pensées d’autrui est possible même si l’on ne parle pas la même langue »
Il y a d’abord ce qu’on appelle l’empathie cognitive, qui me permet de déduire d’un certain comportement d’autrui observable quelles sont ses intentions et même de lui attribuer des pensées. Cela fonctionne très bien. Si je suis en voiture et qu’un automobiliste devant moi met son clignotant, je sais qu’il va tourner. Mais si le clignotant reste allumé trop longtemps, je comprends qu’il l’a oublié. Quand, au travail, je présente un projet nouveau à mes collègues, je sais d’avance à qui il va plaire, à qui il va déplaire, je suis capable d’anticiper les doutes et les objections, et je construis mon argumentaire en fonction de ceux-ci. Si nous n’avions pas cette capacité de lire dans la conscience d’autrui, les échanges socioprofessionnels et l’éducation seraient impossibles. Pour apprendre la lecture à un enfant, il faut se remettre dans la disposition où nous étions quand nous ne savions pas lire et choisir la bonne stratégie explicative. Autre expérience courante : vous êtes à l’étranger et vous avez commis un impair, vous sentez immédiatement, à la réaction des autres, que vous avez manqué de tact. Ici, l’empathie cognitive est d’autant plus étonnante que l’attribution à autrui d’intentions et de pensées semble possible même quand on ne partage ni la langue ni la culture.
Mais il existe un deuxième genre d’empathie, qui tient de la contagion émotionnelle. Nous avons une certaine porosité aux émotions des autres, elles déteignent sur nous. Si je me mets à table et que tout le monde rit, je ressens la gaieté. Idem pour la peur, la colère, la mélancolie, le désir… Les émotions sont comme des feux allumés en forêt : elles se propagent. Cette porosité est néanmoins variable selon les personnes. En effet, plusieurs expériences en psychologie cognitive – consistant à demander de deviner, à partir de séries de photos de visages, quelle est l’émotion correspondante – montrent qu’il y a des écarts importants entre les scores obtenus d’un individu à l’autre. Chacun est plus ou moins réceptif à l’état émotionnel d’autrui, et cela indépendamment de l’empathie cognitive.
… et pour le pire
En troisième lieu vient l’empathie compassionnelle, assez proche de la pitié.Il s’agit d’un cas particulier de l’empathie émotionnelle. Elle est plus morale que cette dernière, dans la mesure où elle me conduit à partager la douleur ou la souffrance d’autrui. Certaines études en psychologie, menées, par exemple, auprès de jeunes délinquants auteurs d’actes de cruauté, montrent que cette empathie compassionnelle est, dans leur cas, altérée ou bloquée. C’est ce qui permet de frapper autrui ou de lui faire mal sans rien ressentir soi-même. Cependant, l’empathie compassionnelle n’est qu’un registre spécifique, à mi-chemin entre l’émotion et la réflexion éthique, qui n’a pas la portée bien plus large de l’empathie cognitive et de l’empathie émotionnelle. C’est pourquoi la seconde idée reçue présentée au début de cet article est très contestable. Notre capacité à nous mettre à la place d’autrui – réelle et remarquablement fiable – ne nous dirige pas nécessairement vers le bien.
Pour un tortionnaire, être empathique est presque un gage de compétence professionnelle. Tel supporte bien la douleur physique et ne passera jamais aux aveux tant qu’on lui fait mal, alors qu’il cédera si l’on menace de violer sa sœur. Pour un autre, ce sera l’inverse. Même chose pour obtenir des aveux lors d’une garde à vue dans un commissariat : l’interrogateur doit suivre le cheminement intérieur du suspect. Les petits chefs accusés de harcèlement moral, les pervers ne peuvent mettre en place leurs stratégies de domination insidieuse qu’à l’aide de l’empathie. C’est pourquoi les deux stéréotypes de départ peuvent être purement et simplement retournés : les êtres humains sont prodigieusement doués pour se mettre à la place d’autrui… mais ça n’est pas forcément une bonne nouvelle !
Sympathie pour la morale
Martin Duru publié le 27 novembre 2019
Les Lumières, moment de triomphe de la raison ? C’est oublier qu’au XVIIIe siècle, en Écosse, des penseurs comme David Hume ou Adam Smith reconsidèrent les sentiments pour fonder la morale. Au cœur de leurs réflexions, la notion de « sympathie », mécanisme qui consiste à se mettre à la place d’autrui.
C’est comme frappé du sceau de l’évidence. On le dit et le répète à l’envi : les Lumières marquent le triomphe de la raison qui, dans son avancée irrésistible, abat les préjugés et les superstitions religieuses. Évidemment, ce n’est pas faux, mais… une autre histoire des Lumières serait-elle possible ? Car le XVIIIe siècle a aussi mis en exergue ce qui semble s’opposer à la raison toute-puissante : les sentiments.
La destination peut surprendre, mais direction l’Écosse. Rattachée à l’Angleterre en 1707, mais soucieuse de sa spécificité, elle s’impose comme l’un des foyers les plus ardents des Lumières – la nation est qualifiée de « serre chaude de génies », et Édimbourg, la capitale, sera surnommée « l’Athènes du Nord ». C’est sur cette agora qu’émerge un courant au puissant rayonnement : le sentimentalisme moral. Son patriarche ? Francis Hutcheson (1684-1746). Professeur à Glasgow, il soutient que nous possédons un « sens moral » dans sa Recherche sur l’origine de nos idées de la beauté et de la vertu, ouvrage qui, en France, sera étudié de près par Diderot. Par analogie avec les sens physiques (l’ouïe, l’odorat…), le sens moral est cette faculté qui nous fait percevoir la qualité vertueuse ou non d’une action. De façon spontanée, il détermine à approuver, à juger bons les actes et les individus mus par la bienveillance, définie comme « le désir ultime désintéressé du bonheur d’autrui ». Hutcheson s’oppose à des auteurs comme Thomas Hobbes ou Bernard Mandeville, qui voient en l’homme une créature essentiellement égoïste et calculatrice. Mais il se démarque également d’une autre tradition influente en son temps, pour laquelle la morale est accessible uniquement par la réflexion rationnelle. Parlant du sens moral comme d’une « qualité occulte », Hutcheson lance un appel : « les hommes doivent consulter leur propre cœur ». Celui-ci a ses raisons que la raison ne commande pas.
1739 : Hutcheson noue une correspondance avec un jeune philosophe originaire d’Édimbourg qui publie, sans le succès escompté, les deux premiers livres d’un ambitieux Traité de la nature humaine – le troisième paraît l’année suivante. David Hume (1711-1776) est un empiriste, un sceptique qui professe un antirationalisme vigoureux : la raison est « l’esclave des passions », et ce n’est pas elle qui est à l’origine de la morale ; ce sont « nos sentiments ». Pour rendre compte de leur formation, Hume écarte cependant le sens moral naturel de Hutcheson et avance la notion plus sociale de « sympathie » (littéralement « sentir avec »). Dans ce contexte, elle désigne un « principe très puissant » de communication des passions. Bienvenue sur la scène des interactions humaines : « les esprits des hommes sont des miroirs les uns pour les autres » et lorsque nous voyons telle émotion sur un visage, celle-ci se propage et nous touche. Hume prend l’exemple d’un homme sur une table d’opération : devant sa peur du scalpel, nous sommes gagnés par « les sentiments les plus forts de pitié et de terreur ». Attention, cela dit, à ne pas confondre la sympathie, qui est un processus, et la compassion (en anglais… sympathy), qui est une émotion particulière. Par sympathie nous pouvons aussi être saisis par la joie ou la colère d’autrui. Si cette diffusion contagieuse des passions est agréable, alors nous louons ce et ceux que nous voyons – le bien est lié à ce qui procure du plaisir. Autre exemple humien : deux amis s’étreignent dans un hall de gare ; leur chaleur, leur tendresse réciproque passe en moi, et j’ai pour eux les sentiments les meilleurs.
L’amitié, parlons-en. Le thème de la sympathie va être modulé par le meilleur ami de Hume himself, Adam Smith (1723-1790), plus connu comme économiste et pourtant figure majeure de cette tradition des sentiments moraux. Disciple de Hutcheson, Smith rencontre Hume à Édimbourg, et un lien indéfectible naît entre les deux hommes, malgré des caractères et des trajectoires divergentes : sémillant, maniant volontiers l’ironie, Hume bataillera toute sa vie contre les religieux qui l’accusent d’athéisme et n’obtiendra jamais de poste dans l’enseignement ; Smith, plus discret, deviendra un professeur d’université respecté, éternel célibataire vivant chez sa mère…
Dans sa Théorie des sentiments moraux, il affine et systématise le concept de sympathie, sur lequel son ami a pu écrire des choses contradictoires. Dans la sympathie, tout commence par un changement imaginaire de situation : nous nous mettons à la place d’un autre, « entrons » dans un autre soi que le sien. Radical décentrement : « je » devient un autre… Prenant le cas de parents qui viennent de perdre leur fils unique, Smith pousse très loin l’identification : « Je considère ce que je souffrirais si j’étais réellement vous, et je ne change pas seulement de circonstances mais aussi de personne et de caractère. » Il s’agit ensuite de ramener à soi les sentiments prêtés à autrui, ici la peine déchirante – cela pourrait être aussi la joie d’une naissance... Si je partage les émotions d’un autre, sa manière d’être et de réagir me paraît juste et convenable, ou inversement ; la sympathie est le mécanisme déclencheur de nos sentiments moraux, d’approbation ou de désapprobation, de louange ou de blâme. Mais il y a plus : par rapport à Hume, Smith fait de la sympathie un puissant levier de régulation des comportements. Se sachant observée, une personne en proie à une vive émotion sait que l’expression ostentatoire des sentiments est parfois mal perçue : « Quand nous entendons quelqu’un se lamenter bruyamment sur ses infortunes, écrit par exemple Smith, fin psychologue, nous sommes choqués par sa peine » (trop visible et audible, donc). La personne concernée va alors, par un effort de « maîtrise de soi », corriger sa conduite afin que les spectateurs puissent partager ce qu’elle ressent. Autrement dit, effet boomerang de la sympathie, autrui aussi se met à la place de ceux… qui se mettent à sa place !
L’ordre règne à Königsberg
« Pour Kant, le problème avec les sentiments, c’est qu’ils “se distinguent les uns des autres par une infinité de degrés” »
Reprenons. Hutcheson était parti d’une faculté innée et au fond assez mystérieuse, le sens moral ; Hume et Smith, eux, préfèrent partir des relations et de situations concrètes, le second développant une approche plus réflexive et presque… rationnelle des sentiments moraux. Mais c’est bien au nom de la raison que le sentimentalisme moral va être critiqué. Cap pour cela sur Königsberg, alors en Prusse. Emmanuel Kant (1724-1804) a lu et admiré les Écossais. Cependant, pour lui, c’est clair et net : les sentiments ne peuvent fonder la morale. Les principes qui orientent la volonté bonne ne doivent pas être tirés de « la constitution particulière de la nature humaine ou des circonstances dans lesquelles elle est placée » (Fondements de la métaphysique des mœurs). D’un revers de phrase, le philosophe rejette à la fois le sens moral de Hutcheson (qui serait implanté dans la nature humaine) et la sympathie de Hume et de Smith (avec leur accent sur les interactions et les projections in situ). Quel est, en général, le problème avec les sentiments ? Ils « se distinguent les uns des autres par une infinité de degrés », et ils varient selon les individus – Untel peut être plus sensible à la pitié… Kant, lui, se réfère à une loi morale qui, « fait de la raison », est indépendante de l’expérience, inconditionnelle et universelle. Et elle m’inspire un sentiment très particulier, le « respect ». Respecter la loi morale, c’est éprouver l’obligation expresse de s’y conformer et d’accomplir son devoir – en traitant par exemple autrui comme une « fin » et non un « moyen ». Extrapolons : dans une logique kantienne, il peut être spécieux ou dangereux de se mettre à la place de l’autre ; par sympathie, je peux approuver quelqu’un qui, dans une situation de détresse, est amené à mentir ou à voler. Or de telles conduites ne peuvent être « universalisées » : je ne peux souhaiter, au nom de la morale, que l’humanité entière se mette à mentir ou à voler.
Alors, triomphe de la raison sur les sentiments ? Victoire par K.-O. de Kant sur les Écossais ? Le clash des Lumières n’est pas seulement un chapitre de l’histoire de la pensée ; il trame nos vies. Chacun a pu éprouver la dissonance entre les exigences du devoir et celles de l’empathie (pour traduire en termes contemporains la sympathie du XVIIIe siècle). Vis-à-vis d’autrui, tantôt la raison chasse les sentiments qui menacent de troubler le jugement, tantôt les sentiments font vaciller la raison qui peut sembler froide et abstraite. Les deux autorités s’affrontent, se corrigent mutuellement, se réconcilient parfois : toujours des tempêtes sous les crânes, et des remous dans les cœurs.
La compassion selon Jean-Jacques
Les Écossais n’ont pas le monopole du cœur. Au XVIIIe siècle, Jean-Jacques Rousseau enjoint aussi à écouter et à renouer avec les sentiments antérieurs à la raison. Pour la petite histoire, il a bien connu Hume, qui l’a aidé à s’exiler en Angleterre en 1766. Mais une brouille éclatera vite entre les deux hommes, Rousseau, au faîte de sa paranoïa, accusant son confrère d’ourdir un complot contre lui… Savoureux paradoxe, celui qui s’est tant méfié des autres a aussi montré que nous nous identifions parfois à eux. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), qu’Adam Smith commentera, Jean-Jacques fait de la pitié le « premier sentiment de l’humanité ». Il la définit comme « la répugnance naturelle à voir périr ou souffrir tout être sensible et principalement nos semblables ». Spontanée, nous portant « sans réflexion » au secours de l’autre, elle offre, selon le philosophe, la preuve de la bonté naturelle de l’homme. Ce thème de la pitié est d’ailleurs introduit dans un développement tourné contre Hobbes, qui avait repris la formule antique « l’homme est un loup pour l’homme ». Une critique de l’auteur du Léviathan (1651) que Rousseau partage… avec les Écossais. Le whisky de la réconciliation ?
CAFE-PHILO Sébastien JANICKI
En date du jeudi 09 février 2023
"Tous malades ? Heurts et malheurs de la philosophie"
CONFERENCE Michel THERON
En date du jeudi 26 janvier 2023
"SAVOIR AIMER - Entre rêve et réalité ?"
Le rideau est tombé ...
La troupe des Cent Talents a accompagné Pierre LOOTGIETER pour sa dernière représentation ...
En date du jeudi 09 février 2023 ...
Nous avons été très heureux de partager avec toi de nombreux moments de théâtre ...
"Il y a quelque chose de plus fort que la mort ...
C'est la présence des absents dans la mémoire des vivants"
Jean D'Ormesson
Nous remercions l'EHPAD Le Logis de Hauteroche à Boisseron
pour son accueil en date du lundi 21 novembre 2022
Nous apprécions ces moments de partage avec nos ainés
Les distraire est notre priorité.
Merci à vous tous, le personnel et les résidents ...
CULTUR'A'RTS ...
Pour cette première édition ...
Journée extraordinaire en ce samedi 19 novembre 2022 ...
Des "intervenants sur scène et des auteurs" de qualité ...
Merci les filles pour un accueil à la hauteur de la manifestation ...
Léontine & Germaine, Les Tricoteuses ...
Ont une pensée tristounette pour celles et ceux qui n'ont pas eu la possibilité de se libérer ...
Pour assister à cette journée culturelle palavasienne ...
L'association " Ballade Philosophique sur les Rivages Palavasiens " a été créée en date du 12 mai 2008.
Pourquoi "ballade" avec deux "ll" ?
Choix délibéré. Associer la philosophie et la littérature, apogée de l'outrecuidance pour certains me direz-vous, cependant les interrogations, les réflexions sur l'être et sur le monde, ces questionnements cruciaux qui peuvent parfois nous effrayer, pourquoi ne pas les aborder sur une note plus légère et le choix du terme "ballade" peut rendre plus accessible cette discipline.
Découverte ludique de la philosophie sous forme de cours et de débats pour adultes consentants.
Pourquoi la philosophie ?
Nostalgie d'une année de terminale, curiosité de l'esprit, besoin de comprendre et d'analyser le monde dans lequel nous évoluons, puisque la philosophie traverse toutes les époques, avec parfois, plus ou moins de difficultés.
Egalement le souhait de rendre cette discipline accessible au commun des mortels.
Développer notre écoute, réfléchir, être capable d'exprimer nos pensées, nos convictions, prendre en compte les opinions d'autrui, c'est aussi l'apprentissage de la philosophie. D'autant que les thèmes abordés concernent tout le monde.
La cotisation annuelle est fixée à 20 € et 30 € pour les couples ou deux enfants de la même famille.
Le bureau assume la logistique, le relationnel, la communication et l'évolution du concept.
Les différentes disciplines sont assurées par des intervenants.
L'association remercie les intervenants qui participent au maintien et à l'évolution du concept, les adhérents et les participants aux différentes manifestations qui permettent à l'association d'exister.
EPICURE
Premier cours auquel a assisté Epicure.
"Au commencement naquit le Chaos" dit le maître.
"Et de quoi naquit-il ?" demande Epicure.
"Cela nous ne pouvons pas le savoir : c'est un sujet réservé aux philosophes".
"Alors, que fais-je ici à perdre mon temps ?" répliqua Epicure.
"Je vais directement chez les philosophes".
L'EPITAPHE DE VOLTAIRE
"Il combattit les athées et les fanatiques, il inspira la tolérance, il réclama les droits de l'homme contre la servitude de la féodalité. Poète, historien, philosophe, il agrandit l'esprit humain et lui apprit à être libre"
Emmanuel KANT
"La beauté est la forme de la finalité d'un objet, en tant qu'elle est perçue dans cet objet sans représentation d'une fin"
René DESCARTES
"Ce qui fait que les bêtes ne parlent point comme nous, est qu'elles n'ont aucune pensée"
Sébastien JANICKI
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SAISON 2018-2019
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SAISON 2017-2018
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CAFE-LITTERAIRE
SAISON 2015-2016
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En date du vendredi 04 septembre 2015
La maison d'édition "Le Chat Rouge"
CONFERENCES
SAISON 2022-2023
Conférence de :
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En date du jeudi 13 octobre 2022
"LE KITSCH - une énigme esthétique"
Conférence de :
Monsieur Michel THERON
En date du jeudi 26 janvier 2023
"SAVOIR AIMER - Entre rêve et réalité"
SAISON 2017-2018
Conférence de :
Monsieur Jean-Marie GUIRAUD-CALADOU
En date du vendredi 17 novembre 2017
"LA MUSIQUE A-T-ELLE UN SENS ?"
Conférence de :
Madame Nathalie NICAUD (soprano colorature)
En date du mardi 12 juin 2018
"UNE VOIX QUI SE RACONTE ..."
SAISON 2016-2017
Conférence de :
Monsieur Maurice VIDAL
En date du mercredi 01 mars 2017
"TOUTE PRISE DE CONSCIENCE EST-ELLE LIBERATRICE ?"
SAISON 2015-2016
Conférence de :
Monsieur Samuel COHEN-SALMON
En date du vendredi 06 novembre 2015
"LE REVE"
Conférence de :
Madame Elise LANCIEN-ISNARD
En date du vendredi 08 avril 2016
"ECRIRE OUI ... MAIS COMMENT ! L'accompagnement littéraire ... Une solution !"
Conférence de :
Monsieur Pierre FERRARA
En date du mercredi 18 mai 2016
"LA SCIENCE DES RUSES ET L'ART DE LA RUSE"
SAISON 2014-2015
Conférence de :
Monsieur Samuel COHEN-SALMON
En date du vendredi 12 décembre 2014
"LE REVE"
Conférence de :
Monsieur Samuel COHEN-SALMON
En date du vendredi 20 mars 2015
"LE REVE"
SAISON 2013-2014
Conférence de :
Messieurs Jacques RECH - Maurice VIDAL - Jean-Pierre COUDER
En date du vendredi 18 octobre 2013
"LA PEINTURE DE Monsieur Jacques RECH"
Conférence de :
Madame Mireille ZARB-LOMBARD
En date du mardi 17 juin 2014
"UNE INCROYABLE QUANTITE DE TEMPLES A LA BEAUTE INDICIBLE SUR LE SOL DE L'INDE"
SAISON 2012-2013
Conférence de :
Monsieur Pierre FERRARA
En date du vendredi 14 juin 2013
"ULYSSE ET L'ETERNELLE ERRANCE"
SAISON 2011-2012
Conférence de :
Monsieur Jean-Marie GUIRAUD-CALADOU
En date du vendredi 25 mai 2012
"LE TARENTISME MEDITERRANEEN"
SAISON 2010-2011
Conférence de :
Monsieur Michel THERON
En date du vendredi 19 novembre 2010
"UN REGARD LAIQUE SUR LA RELIGION"
SAISON 2009-2010
Conférence de :
Monsieur Jean-Marie GUIRAUD-CALADOU
En date du samedi 23 janvier 2010
"LA MUSIQUE EST-ELLE UN LANGAGE ?"
Conférence de :
Monsieur Richard AMALRIC
En date du vendredi 05 mars 2010
"LES CINQ SENS"
SAISON 2022-2023
JOURNEE CULTUR'A'RTS
animée par Monsieur Alain GUYARD
En date du samedi 19 novembre 2022
"Pourquoi les femmes sont-elles insupportables ?"
SAISON 2010-2011
PHILO-COMPTOIR
animée par Monsieur Alain GUYARD
En date du vendredi 04 février 2011
"Décapitez tous les philosophes !"
BATEAU-PHILO
animé par Monsieur Alain GUYARD
En date du lundi 08 août 2011
"Platon, philosophe de haute-mer, la dérive de la pensée et l'archipel des certitudes"
Juliana De SOUZA
SAISON 2022-2023
- NOTRE CORPS NOUS APPARTIENT-IL ?
- UNIVERS IMMERSIFS : L'HUMAIN DANS LE METAVERS
- INTERNET ET PHILOSOPHIE : REFLEXIONS SUR UN CORPS MERCURE, METAMORPHIQUE, DANS LES METAVERS
- PEUT-ON SE METTRE A LA PLACE DES AUTRES ?
SAISON 2021-2022
- PEUT-ON MESURER LA LIBERTE ?
- QUE SIGNIFIE AIMER ?
- PHILOSOPHIE AU FEMININ : INTRODUCTION A LA PENSEE DES FEMMES PHILOSOPHES
- LE PRIX DE L'INVISIBLE - LES FEMMES DANS LA PANDEMIE
- LE BEAU ET LE SUBLIME DANS L'ESTHETIQUE DE KANT
- LA QUESTION DE L'AURA ET DE SA DISPARITION
- SE PROMENER EST-IL UN ART ?
- UNE LOI EST-ELLE FORCEMENT JUSTE ?
- LA FEE ELECTRICITE ET LA CONQUETE DE L'UBIQUITE : COMMENT L'ELECTRICITE A CHANGE NOTRE RAPPORT AVEC L'EXISTENCE ?
Pierre GENAY
SAISON 2019-2020
- LA BIOETHIQUE ET L'URGENCE ECOLOGIQUE
- L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE EST-ELLE LA FIN DE L'HOMME ?
- LE HASARD
Alban COLLIN - Juliana De SOUZA
SAISON 2018-2019
- L'IMPORTANCE DES PREMIERS QUESTIONNEMENTS PHILOSOPHIQUES POUR REFLECHIR SUR NOTRE PLACE DANS LE MONDE CONTEMPORAIN
- DE LA CAVERNE A LA MATRIX : DEMYSTIFICATION DE L'ALLEGORIE PLATONICIENNE A LA LUMIERE DE NOS JOURS
- PEUT-ON MESURER LE BONHEUR ? REFLEXIONS SUR LE BONHEUR NATIONAL BRUT (B.N.B.)
- TEMPUS : LA DIVISION DE LA DUREE
SAISON 2017-2018
- LA VERITE DEPEND-ELLE DE NOUS ?
- L'IMPORTANCE DES PREMIERS QUESTIONNEMENTS PHILOSOPHIQUES POUR REFLECHIR SUR NOTRE PLACE DANS LE MONDE CONTEMPORAIN
- DE LA CAVERNE A LA MATRIX : DEMYSTIFICATION DE l'ALLEGORIE PLATONICIENNE A LA LUMIERE DE NOS JOURS
- PEUT-ON MESURER LE BONHEUR ? REFLEXIONS SUR LE BONHEUR NATIONAL BRUT (BNB)
- TEMPUS : LA DIVISION DE LA DUREE
SAISON 2016-2017
- FAISONS-NOUS L'HISTOIRE ?
- QU'EST-CE QU'ON ATTEND POUR ETRE HEUREUX ?
- LE BONHEUR EST-IL LE BUT DE LA POLITIQUE ?
- L'ETAT EST-IL UN MAL NECESSAIRE ?
- PEUT-ON FONDER UNE MORALE SANS DIEU ?
- LE DESIR A-T-IL UN OBJET ?
- LA SOLITUDE
- PEUT-ON SE LIBERER DE SA CULTURE ?
SAISON 2015-2016
- COMMENT PROUVER L'EXISTENCE DU MONDE EXTERIEUR ?
- LE SENS DE LA VIE ! ! !
- NUL NE FAIT LE MAL VOLONTAIREMENT
- QU'EST-CE QU'UN HOMME LIBRE ?
- FAUT-IL ETRE MORAL ?
- NATURE & CULTURE
- ETRE UN BON VIVANT !
SAISON 2014-2015
-EST-IL POSSIBLE DE NE PAS ETRE SOI-MEME ?
- DESIR & AMOUR
- VIVRE NU ?
- A CHACUN SES GOUTS
- LA SOCIETE DE CONSOMMATION
SAISON 2013-2014
- AVOIR TOUT POUR ETRE HEUREUX
- LE TEMPS QUI NOUS EST COMPTE, COMMENT COMPTE-T-IL ?
- QUELS ACCORDS JOUENT NOTRE CORPS ?
- CHOISIR SES ENNEMIS OU AMIS, EST-CE CHOISIR LE SEMBLABLE OU LE DIFFERENT ??
- L'AMOUR & LE PARDON
- LE SOUCI DE SOI
CLUB DE LECTURE
SAISON 2022-2023
TITRE : LES SOEURS
AUTEUR : Amélie NOTHON
TITRE : LA VIE CACHEE DE MINA M
AUTEUR : Béatrice MONGE
TITRE : ETEIGNEZ TOUT ET LA VIE S'ALLUME
AUTEUR : Marc LEVY
TITRE : LES PERROQUETS DE LA PLACE D'AREZZO
AUTEUR : Eric-Emmanuel SCHMITT
SAISON 2021-2022
TITRE : FUNERAILLES CELESTES
AUTEUR : XINRAN
TITRE : L'AMOUR APRES
AUTEUR : Marceline LORIDAN-IVENS
TITRE : SOIS FORTE LUCIA
AUTEUR : Marie-José BASURCO
TITRE : CHANGER LE SENS DES RIVIERES
AUTEUR : Mureille MAGELLAN
TITRE : LE CERCLE LITTERAIRE DES AMATEURS D'EPLUCHURES DE PATATES
AUTEUR : Mary Ann SHAFFER & Annie BARROWS
TITRE : OSCAR ET LA DAME ROSE
AUTEUR : Eric-Emmanuel SCHMITT
TITRE : LA SEQUESTREE
AUTEUR : Charlotte PERKINS-GILMAN
TITRE : LOU
AUTEUR : Françoise GIROUD
SAISON 2020-2021
TITRE : LA CHINOISE DU TABLEAU
AUTEUR : Florence THOLOZAN
SAISON 2019-2020
TITRE : CET INSTANT-LA
AUTEUR : Douglas KENNEDY
TITRE : VERS LA BEAUTE
AUTEUR : David FOENKINOS
TITRE : UNE MACHINE COMME MOI
AUTEUR : Ian McEWAN
TITRE : CHANGER L'EAU DES FLEURS
AUTEUR : Valérie PERRIN
TITRE : LES VICTORIEUSES
AUTEUR : Laeticia COLOMBANI
SAISON 2018-2019
TITRE : LA TRESSE
AUTEUR : Laeticia COLOMBANI
TITRE : EN ATTENDANT BOJANGLES
AUTEUR : Olivier BOURDEAUT
TITRE : QUAND SOUFFLE LE VENT DU NORD
AUTEUR : Daniel GLATTAUER
TITRE : FUGITIVE PARCE QUE REINE
AUTEUR : Violaine HUISMAN
COUPS DE COEUR LIVRESQUES
Fabienne ALCACER
TITRE : METAMORPHOSES D’UN MARIAGE
AUTEUR : Sandor MARAI
TITRE : LES DEFERLANTESAUTEUR : Claudie GALLAY
Annie GALLOU
TITRE : LE PASSE SIMPLE
AUTEUR : Driss CHRAIBI
Jackie RUE
TITRE : LES SEMEURS D’ESPERANCE
AUTEUR : Jean-Luc FABRE
TITRE : LE COLPORTEUR DES AMESAUTEUR : Jean-Luc FABRE
TITRE : LE SERMENT DES JUSTESAUTEUR : Jean-Luc FABRE
Fabienne ALCACER
TITRE : PENSEES SECRETES
AUTEUR : David LODGE
Fabienne ALCACER
TITRE : Fanny STEVENSON
AUTEUR : Alexandra LAPIERRE
Jackie RUE
TITRE : LA VENGEANCE DU PARDON
AUTEUR : Eric-Emmanuel SCHMITT
Eliane GUILLET
TITRE : N’ABANDONNEZ JAMAIS,
NE RENONCEZ A RIEN
AUTEUR : Francis HUSTER
Odile GOMILA
TITRE : TA DEUXIEME VIE COMMENCE
QUAND TU COMPRENDS QUE TU N’EN AS QU’UNE
AUTEUR : Raphaëlle GIORDANO
Fabienne ALCACER
TITRE : L’OMBRE DU VENT
AUTEUR : Carlos RUIZ ZAFON
TITRE : LE BAL DU DODOAUTEUR : Geneviève DORMANN
Odile GOMILA
TITRE : LE VOYAGE DE THEO
AUTEUR : Catherine Clément
Eliane GUILLET
TITRE : LEGENDE D’UN DORMEUR EVEILLE
AUTEUR : Gaëlle Nohant
Fabienne ALCACER
TITRE : LES FILLES DE HALLOWS FARM
AUTEUR : Angela Huth
Jean DAMEL
TITRE : LES TROUBADOURS
AUTEUR : Henri DAVENSON
(nom de plume : Henri Irénée Marrou)
Elisabeth BON
TITRE : OSCAR ET LA DAME ROSE
AUTEUR : Eric-Emmanuel SCHMITT
Fabienne ALCACER
TITRE : COLLOQUE SENTIMENTAL
AUTEUR : Julie WOLKENSTEIN
Eliane GUILLET
TITRE : MAGELAN, récit historique
AUTEUR : Stefan SWEIG
Chantal MILLAUD
TITRE : REVE BLANC - AMES NOIRES
(recueils de poèmes)
Vingt-quatre heures avant la rencontre avec le dieu de la mort
AUTEUR : De Ma DESHENG
Fabienne ALCACER
TITRE : L'ORACLE DELLA LUNA
AUTEUR : Frédéric LENOIR
Fabienne ALCACER
TITRE : LE MYSTERE Henri PICK
AUTEUR : David FOENKINOS
Chantal MILHAUD
TITRE : LES IMMEMORIAUX
AUTEUR : Victor SEGALEN
Fabienne ALCACER
TITRE : TOUTE LA LUMIERE QUE NOUS NE POUVONS VOIR
AUTEUR : Antony DOERR